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3 Fév 2021 0
par La rédaction le 10 Jan, 2016
Un engagement progressif (deuxième partie). Un autre point intéressant, j'espère que je peux exprimer cela correctement, Abraham n'a pas pris l'initiative de lui-même en tant que responsable de la maison et il a laissé Sarah prendre la décision. Sarah dit, va vers ma servante. Il y va. Quelques années plus tard Sarah dit, débarrasse-toi de ma servante. Il le fait. S'il ne lui avait pas laisser prendre l'initiative la première fois, il n'aurait pas eu à accepter son conseil la deuxième fois.
Maintenant, permettez-moi de dire très clairement. Je crois qu'un homme est insensé s'il n'écoute pas le conseil de sa femme. Et une femme a beaucoup d'idées qu'un homme n'a pas. Et dans mon premier mariage avec Lydia, j'ai toujours cherché à bénéficier de sa perspicacité. Mais Dieu m'a aussi montré clairement que la décision finale était de ma responsabilité. Et je ne pouvait pas lui renvoyer la balle comme on dit. Je me souviens d'une époque où nous avons dû prendre une décision importante quant à savoir si nous irions au Danemark, en Afrique ou aux Etats-Unis. Et j'ai senti que nous devions aller en Afrique. Maintenant, ma femme et mes filles ne voulaient pas aller en Afrique. Et quand vous avez huit filles et une femme et que six de vos filles sont juives, si vous n'avez aucune idée de la pression féminine, vous allez le découvrir! Eh bien, il était très difficile pour moi de passer outre l'opinion de Lydia, mais quand j'étais vraiment dans le désarroi sur ce point et je me demandais ce que je devais faire, le Seigneur m'a parlé d'une de ses façons paisibles propre à lui. Pas de façon audible et il a dit, tu veux que je te respecte, n'est-ce pas? J'ai dit ok Seigneur, c'est ce que je veux. J'ai pris la décision et c'était la bonne décision. Il n'y a aucun doute là-dessus. Et je dois dire pour honorer la mémoire de Lydia , elle m'a dit, je vais avec toi en Afrique non pas parce que je suis appelé en Afrique, mais parce que je suis ta femme. Et où tu vas, j'irais. Mais finalement le Seigneur a grandement béni son ministère là-bas. Mais voilà c'était un exemple typique où je devais prendre la responsabilité. Et chaque fois qu'un mari abdique de sa position, la difficulté surviendra. Aujourd'hui, je suis désolé de le dire, c'est devenu une habitude pour la plupart des maris américains d'abdiquer. En fait, dans de nombreuses familles américaines, les grandes décisions proviennent réellement de la femme.
Vous connaissez l'histoire de l'homme qui dit, nous avons été mariés vingt-deux ans et nous n'avons jamais eu un désaccord. J'ai dit à ma femme, tu prends les petites décisions, je prendrais les grandes décisions. Nous n'avons jamais été en désaccord. Nous n'avons jamais eu de grandes décisions à prendre! Vous voyez, ce n'est pas mon sujet, mais je crois que je dois le dire. Je connaît assez bien ce domaine particulier des États-Unis. Tous les problèmes humains ont commencé quand deux choses sont arrivées. Le premier homme a abdiqué de ses responsabilités et la première femme a pris sa place. Voilà l'origine de tous les problèmes humains sur ce plan. Voyez-vous, à mon avis, Adam n'aurait pas du permettre au serpent de parler à sa femme. Il était là pour garder le jardin, pour le protéger. Le serpent n'était pas un animal du jardin, c'était un animal des champs. Il n'avait aucun droit dans le jardin. Il s'est infiltré. Et alors bien sûr, vous connaissez la remarque d'Ern Baxter sur Eve. Si seulement ├êve avait dit, je ne parle jamais aux serpents étrangers sans mon mari, il n'y aurait jamais eu de problème. Donc, les femmes, ne parlez jamais aux serpents étrangers sans votre mari. Vous dites, les serpents étrangers ne viennent jamais dans ma maison. Ils peuvent venir dans votre maison sans être habillés comme des serpents.
C'est quelque chose de contrecarrer la décision de quelqu'un. Même celle de votre fille. Il y a trois ans, comme beaucoup d'entre vous le savent, ma fille africaine, Joska, que j'aime tendrement et qui est une enfant magnifique, vraiment une joie pour nos cœurs aujourd'hui. Mais il y a environ deux ou trois ans, l'un de ces vendeurs en porte à porte est venu à la maison juste après que Joska ai obtenu son travail et il lui a vendu à crédit un de ces ensembles de cuisson en acier inoxydable de luxe pour mettre dans son ÔÇÿtrousseau'. Elle a un beau trousseau d'ailleurs. Mais elle devait obtenir la signature de papa.
Quand elle est venue me voir pour la signature je lui ai dit, Joska, tu ne peux pas t'offrir cela, tu n'en as pas besoin. Cela ne t'apportera rien de bon, tu as bien mieux à faire avec ton argent que d'investir dans un ensemble de cuisson en acier inoxydable. Et elle m'a regardé et je l'ai regardée et elle a dit, très bien, si tu ne veux pas que je l'achète, je ne l'achèterais pas. J'ai dit, je ne veux pas que tu l'achètes. C'était vraiment un moment important dans notre relation. Cela semblait si minime, mais les hommes, c'est si facile de baisser les bras. Et je crois que la leçon est dérangeante. Je pense que Dieu insiste particulièrement sur le fait que la responsabilité de l'homme est de prendre l'initiative. Cela ne signifie pas que la femme ne partage pas avec son mari, ne conseille pas son mari, ne prie pas avec son mari, ne lui dis pas des choses. Je vais vous dire honnêtement ici devant tout le monde ce que j'ai dit à Bob, tu as une femme particulièrement impressionnante. Elle a habituellement raison. Tu ferais mieux de l'écouter. Mais, la prise de décision est de sa responsabilité. Et il n'a pas peur de le faire. C'était juste un aparté et comme je le dis souvent sans frais supplémentaire!
Quoi qu'il en soit, nous en arrivons au point où Abraham avait écouté Sarah, il a eu un enfant avec Agar, l' enfant a grandi et avait d'environ douze ou treize ans. Et puis, l'héritier promis est venu au temps de Dieu.
Pas par manipulation, pas en aidant Dieu, mais par l'initiative de Dieu. Revenons un instant sur ce sujet de l'initiative. Jésus-Christ est l'époux de l'Église. L'Église est son épouse. Cette même relation s'applique dans ce cas. Jésus n'attend pas que l'Église prenne l'initiative. Jésus est pleinement disposé à accepter la responsabilité de prendre l'initiative. Ce qu'il attend de l'Église, c'est qu'elle réponde. Mais la moitié des églises dans le monde aujourd'hui n'ont même pas l'idée de laisser le Seigneur prendre cette initiative
Permettez-moi de vous faire remarquer qu'il s'agit d'un problème de la fin des temps. Il y a une image claire de cela dans le livre d'Esther. Le Roi Assuérus avait une femme nommée Vashti. Il a organisé son festin, appelé dans tous ses princes, ses capitaines et conseillers et puis l'apogée de tout était l'apparition de sa reine dans sa beauté. Donc il envoya les sept eunuques pour faire venir la reine et elle dit, je suis désolée, mais j'ai ma propre réception. Je ne peux pas venir. Vous savez, c'est exactement comme l'Église. La plupart du temps quand le Seigneur nous appelle, nous avons notre propre programme. Eh bien, Vashti a perdu sa couronne. Elle a été rétrogradée. Et Assuérus a cherché une femme qui lui laisserait l'initiative. Je pense vraiment que c'est ce qui se passe dans l'Église aujourd'hui. Je pense qu'il y a une Vashti et il y a une Esther. Je pense que Vashti va perdre sa couronne. L' Église que Jésus attend est une Église selon Esther. Pourtant, et c'est très, très intéressant car les Écritures sont tellement équilibrées ! Voilà, il y a eu un moment où Esther a pris l'initiative. Rappelez-vous? Elle n'avait pas été appelée en présence du roi depuis trente jours. Son peuple était sur le point d'être détruit et elle dit, vous savez que selon la loi si j'y vais sans avoir été appelée, je mourrais, à moins qu'il ne tende le sceptre d'or. Mais j'irais. Donc dans un sens, elle a pris l'initiative. Mais elle l'a pris dans une attitude différente de Vasthi. Et quand le roi l'a vu, il a tendu le sceptre et a accédé à sa requête. Voilà à quel point, l'équilibre est subtil dans les Écritures.
Maintenant, regardons ce qui s'est passé quand Ismaël dût partir. Genèse 21:9-14. Cela se passe après le sevrage d'Isaac
» Sara vit rire le fils que l'Égyptienne Agar avait donné à Abraham. Elle dit à Abraham : Chasse cette servante et son fils, car le fils de cette servante n'héritera pas avec mon fils Isaac. Cette parole déplut fort à Abraham, à cause de son fils. Mais Dieu dit à Abraham : N'aie pas de déplaisir, à cause du garçon et de ta servante. Accorde à Sara tout ce qu'elle te demandera ; car c'est par Isaac que tu auras une descendance qui porte ton nom. Je ferai aussi une nation du fils de ta servante ; car il est ta descendance. Abraham se leva de bon matin ; il prit du pain et une outre d'eau qu'il donna à Agar et plaça sur son épaule ; (il lui remit) aussi l'enfant et il la renvoya. Elle s'en alla et s'égara dans le désert de BeérÔÇôChéba. ».
Maintenant, ceci montre la façon dont un homme de Dieu gère ses erreurs. Et je pense qu'il n'y a pas de leçon plus importante que celle de l'Écriture. Bien sûr, si vous ne faites jamais fd'erreur, vous n'avez pas besoin d'y prêter trop d'attention. Mais c'est rare enfin peut-être certains d'entre nous n'ont jamais fait d'erreur, je ne dis pas que nous devons tous faire des erreurs. Mais beaucoup d'entre nous le font. Comment gérez-vous votre erreur? Vous avez fait un mauvais choix. Vous avez acheté une voiture qui consomme de l'essence et de l'argent. Mais vous avez soutenu à tout le monde que c'était la bonne voiture. Et quand votre femme a suggéré que vous pourriez vous contenter d'une voiture plus petite, vous ne l'avez pas écouté. Donc, vous avez pris l'initiative, vous avez pris la décision et la voiture est un échec. C'est très, très simple. Plus vous gardez cette voiture, plus vous dépensez d'argent. Vous subissez la pire frustration. Parfois, il suffit de dire, j'ai fait une bêtise. Et je vais régler le problème, m'en débarrasser au plus vite.
Maintenant, une voiture est une chose matérielle très simple. Mais qu'en est-il si vous avez fait un mauvais choix dans le domaine spirituel? Disons que vous vous êtes lié à un frère avec lequel vous ne devriez pas. J'ai vu cela se produire plusieurs fois. Qu'allez-vous faire? Faire traîner la relation? Subir peut-être des années de frustration? Ou allez-vous dire franchement, frère, toi et moi n'aurions jamais dû nous lier au départ. Je ne t'accuse pas, mais nous devons nous séparer.
Ou, pour prendre un exemple très différent mais très commun. Un homme dans le ministère ou en dehors du ministère peut s'impliquer affectivement avec une femme qui n'est pas son épouse. Cela arrive. Je pense que les hommes dans le ministère sont particulièrement sensibles à ce problème. Souvent, il n'y a jamais eu de relation physique immorale. Néanmoins, le cœur de cet homme et son attitude envers sa femme ont été corrompu. Qu'allez-vous faire? Le dissimulez avec un langage religieux et dire, bon, il y a une affinité particulière entre cette femme et moi. Elle me comprend mieux que ma femme. Paroles dangereuses. Oh, combien dangereuses! Je pense actuellement à un homme en particulier, en fait un homme de Dieu noir. Aucun d'entre vous ne le connaît. Bob le connaît. Et il est venu me voir avec une honnêteté étonnante avec sa femme et a dit, j'ai quelque chose en moi qui m'empêche tout simplement de dormir la nuit. Je suis un homme de Dieu, je veux servir le Seigneur. Mais, disait-il, cette chose, je ne peux pas m'en débarrasser, je ne peux pas la briser, je ne peux pas m'en libérer. Je me suis impliqué émotionnellement avec une sœur dans l'église. Elle est venue demander de l'aide. L'histoire banale. Et elle a pris de plus en plus de mon temps. Et finalement, ils ont commencé à flirter. Bon, j'ai eu affaire à des hommes qui avaient besoin de délivrance. Beaucoup. Mais je ne sais pas si j'ai eu à traiter un cas de délivrance plus difficile que celui-ci. Je veux toujours continuer mon ministère, disait-il. Je lui ai dit, frère, vous devez mettre une longue distance entre vous deux. Vous ne devez pas laisser une telle chose s'arrêter progressivement. Il faut une rupture claire et totale. Et si vous ne le faites pas, vous ne vous en sortirez jamais.
Le problème, c'est que nous, surtout les hommes, nous n'aimons pas reconnaître que nous avons fait une erreur. Nous, une erreur? C'est très humiliant. Surtout si vous devez le dire à votre femme. Maintenant, selon moi, si un homme a maltraité sa femme, ne lui a pas donné l'honneur, le respect, la considération ou l'amour qui lui est dû, et que c'est arrivé de façon exceptionnelle, s'il vient me demander de l'aide, je lui demanderai d'aller s'excuser auprès de sa femme. Vous savez pourquoi? Parce qu'il y a très peu de chances qu'il recommence. Certains ministres ne pourrait pas le faire. Mais je le ferais.
Ou bien, et je prends un autre exemple et je dois faire attention parce que j'ai des gens à l'esprit que je ne veux pas pointer devant vous. J'ai entendu des hommes respectés dans le ministère faire des déclarations les plus idiotes. Vous savez, comme un chrétien ne peut jamais avoir de démon. Eh bien, la vérité sur la question est que beaucoup de chrétiens ont des démons et que certaines de ces personnes qui font ces déclarations ont des démons. C'est pourquoi ils les font. Mais vous savez, très peu de prédicateurs se lèveraient pour reconnaître que ce qu'ils ont dit était une erreur. Quelle est la solution? Vivre avec votre erreur pour le reste de votre vie. En l963, j'ai prêché un long sermon à mon assemblée à l'époque démontrant de façon probante qu'il n'y aurait plus jamais d'apôtres dans l'église. Je ferais juste un commentaire très bref en quatre mots ce sujet. Je me suis trompé. Mais vous savez, il a été très difficile pour moi de reconnaître que j'avais tort. J'aurais pu continuer à affirmer que j'avais raison pour le reste de ma vie et mon ministère aurait été fort compromis.
Un des points que j'apprécie chez David, c'est quand Nathan est allé le voir et l'a accusé de son péché, il reconnaît, j'ai péché. C'est pourquoi il ne pouvait rester l'homme qu'il était. D'une certaine façon, les erreurs du roi Sa├╝l ne sont pas aussi énormes que celles de David. Mais il ne s'en ai jamais vraiment remis. Savez-vous pourquoi? Parce qu'il ne les a jamais vraiment reconnues. Lisez la confrontation entre Samuel et Sa├╝l, comparez la avec la confrontation entre Nathan et David et vous pouvez voir que la différence est le fait que David dise, j'ai eu tort. Saul a tenté de se justifier, de s'excuser et d'expliquer pourquoi il a dû agir de la sorte. Je pense qu'il n'y a probablement rien de plus important dans la vie de la plupart des hommes et des femmes de Dieu que la façon dont nous traitons nos erreurs
Pouvons-nous dire honnêtement, j'ai fait une erreur, je vais la réparer? Que pensez-vous qu'Abraham ai ressenti quand il a vu que la jeune esclave, qui avait été en quelque sorte sa concubine, qui avait vécu dans la même maison avec lui pendant certainement vingt ou trente ans, et le seul fils qu'il avait jamais eu de son propre corps, allaient partir dans le désert avec seulement une bouteille d'eau sur son épaule? Pensez-vous que c'était facile? Je pense qu'il devait être à l'agonie. Vous dites, devait-il le faire? Ma réponse est oui, car il faisait confiance au Seigneur.
Lorsque nous faisons une erreur, nous devons faire confiance au Seigneur que sa façon de la régler est juste. Et je voudrais dire que dans la formation ou le discipolat si l'élève ou le disciple fait une erreur et va vers celui qui l'enseigne, il doit accepter le fait que la solution de l'enseignant à son problème est juste. C'est là que vous ne pouvez pas faire confiance à votre propre jugement, quand vous avez fait une erreur. Il est quasi indispensable à un tel moment dans votre vie d'avoir quelqu'un qui peut vous dire, écoute, tu dois regarder les choses en face, être honnête.
N'essayez pas de vous tromper vous-même ou d'autres personnes. Vous avez fait une erreur. J'ai rencontré deux sortes d'hommes. Ceux qui ne voulaient pas admettre leurs erreurs et ceux qui les reconnaissaient. Et j'ai vu la différence dans leur expérience par la suite. Ceux qui n'ont rien admis se sont plus ou moins coupés de l'avancée dans la vie et le dessein de Dieu. Et ceux qui l'ont reconnu, ont pu revenir dans la plénitude de la vie et du dessein de Dieu et avancer.
Bien. Nous avons un engagement de plus. C'est vraiment étonnant quand nous regardons dans la Parole de constater à quel point dans ces récits s'entremêlent des principes tellement clairs et des exemples parfaitement conçus. Nous avons encore un engagement à examiner. Un dernier engagement. Regardons ce qu'Abraham avait abandonné jusqu'ici. Il abandonna son pays d'origine, son père, son neveu, et sa concubine et son fils. Qu'est ce que Dieu pourrait lui demander de plus? Qu'est ce que Dieu lui a-t-il demandé de plus? Un pas de plus, qu'est-ce que c'était? Isaac. N'était-ce pas étrange. Rappelez-vous, Isaac était l'enfant miracle, celui que Dieu avait donné. Et Dieu dit: maintenant je veux le reprendre. Et je vous assure, selon la Parole, l'expérience et l'observation personnelle, tout ce que Dieu vous donne ,un jour il vous le redemandera. Et cette chose sera bénie ou pas selon la façon dont vous répondrez à la demande de Dieu. Lisons le récit, je ne veux pas continuer plus longtemps. Genèse 22:
« Après ces événements, Dieu mit Abraham à l'épreuve et lui dit : Abraham ! Il répondit : Me voici ! Dieu dit : Prends donc ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; vaÔÇôt'en dans le pays de Moriya et là, offreÔÇôle en holocauste sur l'une des montagnes que je t'indiquerai. »
Comment auriez-vous réagi à cela? Je vous pose une question, je ne peux pas y répondre. Croyez-vous qu'Abraham en ai discuté avec Sarah?
« Abraham se leva de bon matin, sella son âne. . . »
Chaque fois que Dieu a demandé à Abraham de faire quelque chose, il s'est levé tôt le matin pour le faire. Et je crois que s'il ne s'était pas levé tôt le matin, il ne l'aurait jamais fait. S'il était resté dans son lit et avait réfléchit une heure ou deux, cela aurait changé le cours de l'histoire.
« . . . et a pris avec lui ses deux jeunes serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois. . . [Maintenant, allons là où cela se passe, Genèse 22 :10. Isaac est étendu sur l'autel, prêt à être mis à mort.] Puis Abraham étendit la main et prit le couteau pour égorger son fils. Alors l'ange de l'Éternel l'appela du ciel et dit : Abraham ! Abraham ! Il répondit : Me voici ! L'ange dit : N'étends pas ta main sur le jeune homme et ne lui fais rien ; car j'ai reconnu maintenant que tu crains Dieu et que tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique. Abraham leva les yeux et vit par derrière un bélier retenu dans un buisson par les cornes ; alors Abraham alla prendre le bélier et l'offrit en holocauste à la place de son fils. »
Que représente le bélier ? Jésus. Vous savez ce qu'était le bélier. Le bélier était l'animal sacerdotal. C'était le sacrifice du prince. Que représente toujours les cornes dans l'Ecriture ? La force. Pourquoi le bélier était-il retenu dans le buisson par les cornes ? Quelle était la force de Jésus ? Son obéissance au Père. Voilà pourquoi il ne pouvait s'échapper. Verset 14 :
« Abraham donna à cet endroit le nom de AdonaïÔÇôYireéhÔǪ »
Il y a une chanson AdonaïÔÇôYireéh, ils l'ont chantée en Israël et notre guide juif voulait que je la traduise. Ils ne pouvaient pas imaginer que les paroles étaient : AdonaïÔÇôYireéh. Alors j'ai dit Adoni ? erai ?.
« ÔǪC'est pourquoi l'on dit aujourd'hui : Sur la montagne de l'Éternel, il sera pourvu. L'ange de l'Éternel appela Abraham une seconde fois du ciel et dit : Je le jure par moiÔÇômême, ÔÇô oracle de l'Éternel ! parce que tu as fait cela, et que tu n'as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions et je multiplierai ta descendance, comme les étoiles du cielÔǪ »
Notez, ce que vous gardez diminue. Ce que vous cédez est multiplié. S'il n'avait jamais donné son fils, Dieu n'aurait jamais pu multiplier son fils. Ce que vous donnez est ce que Dieu multiplie. Dieu vous bénit mais il multiplie ce que vous abandonnez. Et quoi que ce soit, ça peut être votre ministère, ça peut être votre travail, ça peut être votre position sociale, plus vous vous rapprochez de Dieu, plus il prendra ce qui vous est cher jusqu'à ce que Dieu prenne pour finir la seule chose qui compte vraiment pour vous. Il dit, voilà ce que je veux. Vous répondez, Dieu, ce n'est pas juste. Je ne pense pas que Dieu joue franc-jeu. Quelqu'un a dit, tout est juste en amour et en guerre. Une relation amoureuse ne se préoccupe pas de ce qui est juste. D'une certaine manière, l'amour est pratiquement la chose la plus exigeante au monde. L'amour dit, je veux tout de toi. Je ne veux pas te partager avec qui que ce soit. Le Seigneur est un Dieu jaloux. Il dit, je veux tout de toi, je ne vais pas te partager avec qui que ce soit.
Les cinq pas d'engagement. Revoyons les. Chacun était une renonciation. Le premier, sa ville natale. Le deuxième, son père. Le troisième, son neveu. Le quatrième, le fils qu'il n'aurait jamais du avoir. Et le cinquième, le fils que Dieu lui avait donné. Quel est le principe ? Un engagement progressif. Vous n'y arriverez pas en un seul jour. Si Dieu avait commencé en disant à Abraham ce qu'il lui demanderait à la fin, Abraham ne se serait jamais engagé dans cette voie, n'est-ce pas ?Le fondement de bas est de faire confiance à Dieu. Il vous aime, il s'intéresse à vous et il sait mieux que vous ce dont vous avez vraiment besoin.
Derek Prince
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